lundi 30 août 2010

Petits malheurs et gros bonheurs

D'abord publié le 05-02-10

Petits malheurs

Julien a une grosse prune sur le front. Antoine a tiré sur la tige d'une plante et a failli recevoir le pot sur la tête. Je suis d'ailleurs surprise que ce ne soit pas arrivé avant. Et nous qui considérions le salon comme sécuritaire!!! Ensuite, Julien a reçu la barre du tapis roulant juste dans le petit mou sous l'oeil. Rien qu'à le regarder, on aurait le goût d'appeler le DPJ! Mais rassurez-vous, il a à peine pleuré plus de 10 secondes.

Gros bonheurs

Ils ont ajouté le cochon, le singe et l'âne à leur répertoire de cris d'animaux. Je dois avouer que ce ne sont les plus élégants à entendre, mais on s'émerveille de tout!

Ils signent "fini" et "encore" couramment maintenant! Quel soulagement pour les genoux! "Les genoux?'' vous entends-je penser en différé. Mais oui, puisque nous n'avons plus besoin de laver le plancher autour des chaises après chaque repas. Un repas sur quatre je dirais!

Ils disent: bébé, non, papa, 'core (pour encore), pa'ti (pour parti), auto, coa (pour leur poupée Betty Coa), dodo, wow (pour canard), dehors. Ils répètent maman mais ne l'utilisent toujours pas en contexte. Ce qui honnêtement, est vraiment une épine dans le pied pour quelqu'un qui avait mis ça dans sa liste de choses à faire d'il y a dix ans..

(...) Acheter une maison.

Aller en Amérique du Sud, en Asie et en Afrique.

Entendre mon bébé m'appeler ''maman".

Faire un feu de bois de grève. (...)

Si ça continue, ce ne seront plus des bébés quand ils utiliseront le mot tant attendu et il faudra tout recommencer avec une autre progéniture. Ce sera tant pis pour le papa qui songe à la vasectomie!!! (hihihi!)

Toujours dans la série petits malheurs et gros bonheurs. Les cerfs du Mont St-Bruno ont envahi notre sous-bois, la neige est maintenant constellée de traces de pas et l'écorce des arbres tout abîmée. Ne serait-ce des empreintes qui se retrouvent partout chez les voisins, je serais encline à penser que c'est mon compost qui les attire malgré la boîte exigée par la ville. Mais force est de constater que mon honneur et mes résidus domestiques maintenant légaux sont saufs! Reste à voir ce qu'il adviendra de nos arbres centennaires! Et vive la population de cerfs faméliques, affamés et sans aucuns prédateurs que vous subventionnez, chers contribuables!

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